Sachez que j'écris au fur-et à mesure sur ce message!
Je ne tape pas d'abord sur OpenOffice ou autre.
Sinon, voici le prologue:
Les tènèbres du coeur
Prologue: Le début de la fin.
C'était une belle journée. Un soleil radieux illuminait un ciel lavé de tous nuages par un violent orage de la veille, les oiseaux chantaient... Bref, c'était une journée comme il y en avait tant d'autres au royaume Champignon. Nous étions dans la province de koopaland. A cette époque, ce qu'on pouvait considérer comme le berceau de la civilisation koopa était sous domination du royaume Champignon. Mais, en ces temps troublés de guerre, cette position d'un symbole si fort dans le camp adverse que cela déplaisait au plus haut point au roi Bowrington, le père de Bowser, qui n'avait que 5 ans.
Le roi continuait le combat entamé par son propre père, le roi Bowsatton, des décennies plus tôt. La haine cordiale que se vouaient les deux pays était à l'origine d'une autre guerre entre ces voisins. Même si le royaume de Bowrington était en position évidente de sous nombre, car les royaumes de Sarasaland et de l'île des Yoshi étaient alliés au royaume Champignon, l'armée des koopas était mieux entrainée et plus nombreuse. La contrée de koopaland avait régulièrement était l'objet d'invasions successives par l'un et l'autre camp. Posséder koopaland, c'était posséder un symbole dont l'un et l'autre camp avait besoin.
J'étais alors un tout jeune soldat koopa, avide de faire mes preuves. Je rêvais, comme tout mes semblables, de devenir quelqun, d'être un symbole pour tous, d'être un première page sur les livres d'histoire... Chose qui ne risquait pas d'arriver. Nous passions dans un de ces petits villages millénaires où le temps semblait s'être arrêter. Je passais devant une petite maison qui ressemblait à une carapace géante dont la porte était le trou pour la tête et les fenêtres ceux pour les bras et les jambes. J'entendis alors un bruit. Un hurlement venait de retentir, suivit par un autre. Moi et mes amis et frères d'arme, nous nous précipitâmes vers la maison. Nous nous appretions à enfoncer la porte lorsque que nous vîmes qu'elle était ouverte. Et là, nous avons trouvé une koopette qui accouchait. On s'est précipité vers elle pour l'aider. Le bébé était déjà en train de sortir.
"C'est un garçon". a déclaré mon pote Koopanders.
Je me souviendrais de ça toute ma vie. La mère était crevée mais elle avait l'air en bonne santé.
"Comment il s'appelle? a demandé Koopatus.
-Koops, a répondu la koopette. Comme son père..."
Elle a eu un faible sourire, et elle est tombée à terre. On a cru à un malaise, mais c'était ce genre de malaise dont on ne se réveillais jamais. IL y avais un mince filet de sang sur sa bouche. Elle était morte. On s'est retourné vers le petit, et on a rien dit comme si il avait pu comprendre.
"Koops... J'ai dit."
Là, le sergent Koopsi est entré, il a dit "On bouge les gars, allez!". Il nous a regardé nous, puis le petit, puis la mère encore soutenue par Kooplinton. Il a tout de suite compris.
"Amenez-le à l'orphelinat le plus proche. A-t-il dit."
Ca nous a mis la boule au ventre, à moi et aux autres, mais on a obéi. Moins d'une heure plus tard il était casé.
Ca me fais un foutu souvenir, ça oui... Et ça me fait froid dans le dos quand je le vois maintenant.
Propos recueillis par Koopa troopa auprès de l'ex soldat Kooparton.