Enfin bref, mon histoire parlera de pokémon *shot* dans une vie normale. Ben oui normale. Une histoire sans action ça nous changera les idées un peu...
...Et aussi parce que l'idée d'un groupe de pokémon me trottait dans la tête depuis... Euh... deux semaines.
NOTES:
C'est ma toute première fanfic officielle.
Si vous avez aperçu des fautes, qu'il y a des trucs étranges, n'ayez pas peur de le dire, ça ne me vexera pas.
Vous avez des idées pour la suite (et surtout pour le titre) ? Vous pouvez essayer de m'en parler, et je verrai si je la retiens ou non. Si oui, votre nom figurera au début du chapitre, et votre nom dans une section merci à: !
Merci de bien vous amuser à lire cette fanfic!
Myon
Chapitre 1:
C'était la fin de l'été. Fini les jours chauds à flâner à la plage et se goinfrer de glaces. Mais bon, l'automne allait arriver, et c'était ma saison préférée avec ses mille couleurs. Moi, petit Emolga, enfant adopté, j'étais plutôt simple à vivre, et pas difficile à nourrir et à amuser. J'avais à peine sept ans, mais j'étais très intelligent pour mon âge. J'ai été adopté par les trois meilleurs amis du monde :
L'un était un Escroco, sûrement mon préféré des trois, qui à beau l'air menaçant par sa taille et sa grosse voix, il a un cœur d'or : Il reste toujours très calme et posé, et sait calmer les tensions entre les deux autres. C'est un glouton pas possible, et il mange au moins dix kilos de nourriture par jour. Un autre était un Insisache, le plus jeune des trois, et lorsque je les compare tous les deux, c'est le jour et la nuit : C'est un nerveux pas possible et c'est assez rare lorsqu'il est calme. Il ne dort jamais les nuits de pleine lune, pire, ça le stresse encore pire que la journée.
Le troisième, l'aîné, était un Mastouffe : il est bibliothécaire, et c'est le plus intelligent des trois. Il fait environ du 10 pages par minute tout en comprenant ce qu'il lit. Il est assez solitaire, du fait que pendant la journée il reste dans sa bibliothèque. Mais il sait passer du bon temps avec nous.
Ils sont beaucoup, vraiment beaucoup plus vieux que moi : Il ont environ entre 28 et 35 ans. Ils avaient envie de vivre ensemble tous les trois, comme des frères, tellement ils étaient copains.
Enfin, nous fûmes arrivés à notre maison après notre dernière journée à la plage: c'était une petite maison, avec juste assez de place pour trois : elle était située dans une immense prairie verte. Elle était composé d'une petite salle à manger qui fait également office de cuisine, deux chambres avec deux lits, une salle de jeux et une bibliothèque. Il y avait également une petite salle de bains avec des toilettes.
Je rentrai comme à mon habitude sur le dos d'Escroco. Les deux autres se chamaillaient encore une fois. Une fois rentrés, ça se calmait. Le soleil se couchait et reflétait sa lueur vermeil sur la maisonnette.
J'avais l'habitude d'appeler mes parents adoptifs « Tonton » pour ne pas me faire remonter des souvenirs douloureux. Une fois à l'intérieur, je regardai l'horloge : 19h53, presque l'heure du dîner.
-Vous voulez manger quoi ? Demanda Mastouffe.
-Du moment que ce soit bon, ça nous va ! Répondit Escroco.
-Tu pourrais nous faire ta super gelée de baies comme tu sais la faire ? Tonton Escroco et moi, on l'adore ! Et je suis sûr que Tonton Insisache aussi ! Disais-je.
-Ouaip, quand t'en mets pas trop aussi... Balbutia Insisache.
-C'est OK ! Préparez-vous à vous régaler !
En fait, chacun son tour on faisait la cuisine. Demain ce serait à Insisache. Moi j'en suis dispensé, j'étais vraiment trop jeune.
On attendait le repas et discutâmes de la journée. Mastouffe nous avertit :
-Il n'y a presque plus rien dans le frigo ! Demain il va falloir faire les courses !
-Ca tombe bien ! Demain c'est le marché ! Affirmai-je.
-Eh bien c'est parfait ! On pourra y aller tous ensemble ! Dit Escroco avec joie.
Nous eûmes enfin un projet pour demain, le premier jour de l'automne. Après manger, nous regardâmes un peu la télé et allâmes au lit. L'horloge affichait 21h24. J'allai dans ma chambre.
Les chambres étaient réparties ainsi : Insisache et Escroco dormaient ensemble, tandis que moi, j'étais dans la même chambre que Mastouffe car Escroco disait que j'avais « besoin de calme ».
Pendant que Mastouffe lisait sans faire un seul bruit dans son lit, je planai vers la lucarne située en haut de la chambre et aperçus la pleine lune. Une lune scintillante, blanche et immaculée, qui illuminait le paysage et lui donnait un aspect légendaire. Mais je pensais aussi « Encore une nuit blanche pour notre pauvre Tonton Insisache ». Le ciel était dégagé, j'aperçus la myriade d'étoiles toutes distinctes les unes que les autres. La lune me fait rêver depuis que je suis un bébé : Elle me donne envie d'aller voir ce qu'il y a là-bas. L'espace à l'air tellement vaste...
Tout cela m'a donné énormément sommeil. Je m'installai confortablement dans mon lit et sombrai dans un profond sommeil rempli de rêves et de joie...
L'un était un Escroco, sûrement mon préféré des trois, qui à beau l'air menaçant par sa taille et sa grosse voix, il a un cœur d'or : Il reste toujours très calme et posé, et sait calmer les tensions entre les deux autres. C'est un glouton pas possible, et il mange au moins dix kilos de nourriture par jour. Un autre était un Insisache, le plus jeune des trois, et lorsque je les compare tous les deux, c'est le jour et la nuit : C'est un nerveux pas possible et c'est assez rare lorsqu'il est calme. Il ne dort jamais les nuits de pleine lune, pire, ça le stresse encore pire que la journée.
Le troisième, l'aîné, était un Mastouffe : il est bibliothécaire, et c'est le plus intelligent des trois. Il fait environ du 10 pages par minute tout en comprenant ce qu'il lit. Il est assez solitaire, du fait que pendant la journée il reste dans sa bibliothèque. Mais il sait passer du bon temps avec nous.
Ils sont beaucoup, vraiment beaucoup plus vieux que moi : Il ont environ entre 28 et 35 ans. Ils avaient envie de vivre ensemble tous les trois, comme des frères, tellement ils étaient copains.
Enfin, nous fûmes arrivés à notre maison après notre dernière journée à la plage: c'était une petite maison, avec juste assez de place pour trois : elle était située dans une immense prairie verte. Elle était composé d'une petite salle à manger qui fait également office de cuisine, deux chambres avec deux lits, une salle de jeux et une bibliothèque. Il y avait également une petite salle de bains avec des toilettes.
Je rentrai comme à mon habitude sur le dos d'Escroco. Les deux autres se chamaillaient encore une fois. Une fois rentrés, ça se calmait. Le soleil se couchait et reflétait sa lueur vermeil sur la maisonnette.
J'avais l'habitude d'appeler mes parents adoptifs « Tonton » pour ne pas me faire remonter des souvenirs douloureux. Une fois à l'intérieur, je regardai l'horloge : 19h53, presque l'heure du dîner.
-Vous voulez manger quoi ? Demanda Mastouffe.
-Du moment que ce soit bon, ça nous va ! Répondit Escroco.
-Tu pourrais nous faire ta super gelée de baies comme tu sais la faire ? Tonton Escroco et moi, on l'adore ! Et je suis sûr que Tonton Insisache aussi ! Disais-je.
-Ouaip, quand t'en mets pas trop aussi... Balbutia Insisache.
-C'est OK ! Préparez-vous à vous régaler !
En fait, chacun son tour on faisait la cuisine. Demain ce serait à Insisache. Moi j'en suis dispensé, j'étais vraiment trop jeune.
On attendait le repas et discutâmes de la journée. Mastouffe nous avertit :
-Il n'y a presque plus rien dans le frigo ! Demain il va falloir faire les courses !
-Ca tombe bien ! Demain c'est le marché ! Affirmai-je.
-Eh bien c'est parfait ! On pourra y aller tous ensemble ! Dit Escroco avec joie.
Nous eûmes enfin un projet pour demain, le premier jour de l'automne. Après manger, nous regardâmes un peu la télé et allâmes au lit. L'horloge affichait 21h24. J'allai dans ma chambre.
Les chambres étaient réparties ainsi : Insisache et Escroco dormaient ensemble, tandis que moi, j'étais dans la même chambre que Mastouffe car Escroco disait que j'avais « besoin de calme ».
Pendant que Mastouffe lisait sans faire un seul bruit dans son lit, je planai vers la lucarne située en haut de la chambre et aperçus la pleine lune. Une lune scintillante, blanche et immaculée, qui illuminait le paysage et lui donnait un aspect légendaire. Mais je pensais aussi « Encore une nuit blanche pour notre pauvre Tonton Insisache ». Le ciel était dégagé, j'aperçus la myriade d'étoiles toutes distinctes les unes que les autres. La lune me fait rêver depuis que je suis un bébé : Elle me donne envie d'aller voir ce qu'il y a là-bas. L'espace à l'air tellement vaste...
Tout cela m'a donné énormément sommeil. Je m'installai confortablement dans mon lit et sombrai dans un profond sommeil rempli de rêves et de joie...
...Mes yeux s'ouvrèrent doucement le lendemain. La lumière du soleil levant reflétait sur moi. J'entendais du bruit hors de la chambre : tout le monde était déjà réveillé. Je regardai l'heure : 9h18. Aujourd'hui, c'était le premier jour de l'automne.
Je me levai doucement et me dirigeai vers le salon pour prendre mon petit déjeuner, et tout le monde m'accueilla avec la gentillesse de d'habitude, c'est-à-dire en me disant « bonjour » avec un grand sourire, et Escroco qui me frottait la tête lorsque j'arrivais à table.
Je prenais mon petit déjeuner habituel : des bonnes tartines à la confiture de baies avec un jus de baie Oran. On mangeait tranquillement, on discutait entre nous, et après le petit-déjeuner, tout le monde passa à la salle de bain chacun son tour pour se laver.
Après cela, nous nous préparâmes pour aller au marché à 700 mètres de là où on habite. Lorsqu'on sortit dehors, je fus ébloui par les couleurs qu'avaient prises la ville avec les feuilles tombantes. Lorsque nous arrivâmes à la ville, les rues étaient teintées d'une couleur vermeil qui reflétait la lumière du matin d'une façon féerique et majestueuse. Une fois au marché, je remarquai les toits parsemés de feuilles de toutes les couleurs.
Nous passâmes à plusieurs stands. L'un s'arrêta pour acheter des bibelots et de la nourriture en abondance, l'autre pour des livres. J'achetai pour ma part un jouet, et Insisache n'acheta rien, persistant à dire « moi j'aime pas les marchés ».
Après avoir obtenu tout ce qu'il nous fallut, Escroco me prit sur ses épaules et nous fûmes un tour rapide du marché, fascinés par la beauté automnale de la ville. Lorsque j'aperçus la forêt et ses mille couleurs, je demandai, tout excité :
-Tonton Escroco ! Tonton Mastouffe ! On pourrait faire une ballade dans la forêt, ça ferait passer le temps et ça nous ferait du bien !
-Pourquoi pas ? Répondit Mastouffe.
-Absolument pour ! Ajouta Escroco.
-Et pourquoi tu ne demandes pas à moi ? Gromella Insisache.
-Parce que je connais déjà ta réponse, disais-je, d'un air rieur.
-Mais d'abord, on va manger un morceau en ville, car il est déjà 11h54 ! Avertit Mastouffe.
Nous allâmes dans mon restaurant préféré : délice familial. C'était un restaurant géré par une famille entière et qui proposait des menus composés par eux-mêmes : Et pour être honnête, j'avais un faible pour leur fille, une Chinchidou, qui avait le même âge que moi.
Comme à mon habitude, je pris un menu enfant, et Escroco choisit le menu où il y en avait le plus dedans. Mastouffe prit une soupe de baies et Insisache une salade.
Après avoir mangé, et qu'on attendait notre dessert, j'allais jouer un peu avec la fille des propriétaires à l'étage supérieur. Et lorsque le dessert arriva, on m'appela pour descendre.
J'avais pris une bonne part de gâteau au chocolat, et mes tontons avaient tous pris des glaces.
Après avoir bien mangé, nous fûmes la promenade dans la forêt. Je descendai des épaules d'Escroco et alla m'amuser dans la forêt. Elle n'est pas bien dense, donc je ne risque pas énormément de me perdre, bien qu'il faut que je reste près de mes tontons, au cas où. Je m'allongeai au pied de l'arbre de vie : C'est l'arbre le plus immense de la forêt, qui fait une hauteur tellement élevée que je me dis que je pourrais toucher le ciel en grimpant là-haut. En rêvassant à regarder la beauté des couleurs éblouissantes automnales de la forêt, je me laissai prendre dans le sommeil. Lorsque je me réveillai, nous fûmes rentrés à la maison, et je me trouvais sur mon lit. Je regardai l'heure : 14h37. Je me levai de mon lit et allai voir mes tontons dans le séjour. Ils étaient en train de jouer à un jeu vidéo. Lorsqu'Escroco me vit, il me dit :
-Tiens, Emolga ! Prends une manette et viens jouer avec nous !
J'aimais bien jouer avec mes tontons. Ce qui est bien (et pas bien en même temps) c'est qu'ils ne font jamais en sorte de maximiser mes chances de gagner, c'est toujours d'égal à égal. Ce qui fait que je gagne très rarement contre eux... Mais ça reste toujours aussi amusant !
Fin du temps de jeu : Il était seize heures pile. Je pris mon goûter et Escroco alla dans sa chambre pour faire la sieste. Le soir venu, j'allai le réveiller pour le dîner, et il me frotta gentiment la tête. Ce soir, c'était Insisache, et il nous fit son plat spécial : c'était un menu composé d'une purée de baies avec des légumes divers parsemés autour. C'était un mélange bizarre mais très bon. Une fois mangé, j'allai dans ma chambre et emprunta en demandant la permission à Mastouffe, un livre de contes. Après en avoir lu un ou deux, je regardai le ciel étoilé, et j'avais beaucoup de chances : cette nuit, c'était une pluie d'étoiles filantes. Tradition l'exige, je fis un vœu, et lorsque ce fut fini, je regardai encore une fois l'heure : 22h04, et je sombrai rapidement dans un profond sommeil.
Je me levai doucement et me dirigeai vers le salon pour prendre mon petit déjeuner, et tout le monde m'accueilla avec la gentillesse de d'habitude, c'est-à-dire en me disant « bonjour » avec un grand sourire, et Escroco qui me frottait la tête lorsque j'arrivais à table.
Je prenais mon petit déjeuner habituel : des bonnes tartines à la confiture de baies avec un jus de baie Oran. On mangeait tranquillement, on discutait entre nous, et après le petit-déjeuner, tout le monde passa à la salle de bain chacun son tour pour se laver.
Après cela, nous nous préparâmes pour aller au marché à 700 mètres de là où on habite. Lorsqu'on sortit dehors, je fus ébloui par les couleurs qu'avaient prises la ville avec les feuilles tombantes. Lorsque nous arrivâmes à la ville, les rues étaient teintées d'une couleur vermeil qui reflétait la lumière du matin d'une façon féerique et majestueuse. Une fois au marché, je remarquai les toits parsemés de feuilles de toutes les couleurs.
Nous passâmes à plusieurs stands. L'un s'arrêta pour acheter des bibelots et de la nourriture en abondance, l'autre pour des livres. J'achetai pour ma part un jouet, et Insisache n'acheta rien, persistant à dire « moi j'aime pas les marchés ».
Après avoir obtenu tout ce qu'il nous fallut, Escroco me prit sur ses épaules et nous fûmes un tour rapide du marché, fascinés par la beauté automnale de la ville. Lorsque j'aperçus la forêt et ses mille couleurs, je demandai, tout excité :
-Tonton Escroco ! Tonton Mastouffe ! On pourrait faire une ballade dans la forêt, ça ferait passer le temps et ça nous ferait du bien !
-Pourquoi pas ? Répondit Mastouffe.
-Absolument pour ! Ajouta Escroco.
-Et pourquoi tu ne demandes pas à moi ? Gromella Insisache.
-Parce que je connais déjà ta réponse, disais-je, d'un air rieur.
-Mais d'abord, on va manger un morceau en ville, car il est déjà 11h54 ! Avertit Mastouffe.
Nous allâmes dans mon restaurant préféré : délice familial. C'était un restaurant géré par une famille entière et qui proposait des menus composés par eux-mêmes : Et pour être honnête, j'avais un faible pour leur fille, une Chinchidou, qui avait le même âge que moi.
Comme à mon habitude, je pris un menu enfant, et Escroco choisit le menu où il y en avait le plus dedans. Mastouffe prit une soupe de baies et Insisache une salade.
Après avoir mangé, et qu'on attendait notre dessert, j'allais jouer un peu avec la fille des propriétaires à l'étage supérieur. Et lorsque le dessert arriva, on m'appela pour descendre.
J'avais pris une bonne part de gâteau au chocolat, et mes tontons avaient tous pris des glaces.
Après avoir bien mangé, nous fûmes la promenade dans la forêt. Je descendai des épaules d'Escroco et alla m'amuser dans la forêt. Elle n'est pas bien dense, donc je ne risque pas énormément de me perdre, bien qu'il faut que je reste près de mes tontons, au cas où. Je m'allongeai au pied de l'arbre de vie : C'est l'arbre le plus immense de la forêt, qui fait une hauteur tellement élevée que je me dis que je pourrais toucher le ciel en grimpant là-haut. En rêvassant à regarder la beauté des couleurs éblouissantes automnales de la forêt, je me laissai prendre dans le sommeil. Lorsque je me réveillai, nous fûmes rentrés à la maison, et je me trouvais sur mon lit. Je regardai l'heure : 14h37. Je me levai de mon lit et allai voir mes tontons dans le séjour. Ils étaient en train de jouer à un jeu vidéo. Lorsqu'Escroco me vit, il me dit :
-Tiens, Emolga ! Prends une manette et viens jouer avec nous !
J'aimais bien jouer avec mes tontons. Ce qui est bien (et pas bien en même temps) c'est qu'ils ne font jamais en sorte de maximiser mes chances de gagner, c'est toujours d'égal à égal. Ce qui fait que je gagne très rarement contre eux... Mais ça reste toujours aussi amusant !
Fin du temps de jeu : Il était seize heures pile. Je pris mon goûter et Escroco alla dans sa chambre pour faire la sieste. Le soir venu, j'allai le réveiller pour le dîner, et il me frotta gentiment la tête. Ce soir, c'était Insisache, et il nous fit son plat spécial : c'était un menu composé d'une purée de baies avec des légumes divers parsemés autour. C'était un mélange bizarre mais très bon. Une fois mangé, j'allai dans ma chambre et emprunta en demandant la permission à Mastouffe, un livre de contes. Après en avoir lu un ou deux, je regardai le ciel étoilé, et j'avais beaucoup de chances : cette nuit, c'était une pluie d'étoiles filantes. Tradition l'exige, je fis un vœu, et lorsque ce fut fini, je regardai encore une fois l'heure : 22h04, et je sombrai rapidement dans un profond sommeil.
