Vos tests

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koopa troopa
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Re: vos tests...

Message par koopa troopa »

Le teste n'est pas assez complet, il n'y a pas vraiment d'arguments ni d'exemples.
"Oui mais quand tu lances un débat politique ici ça tourne au vinaigre en général.
Dénommé Koopa, vous êtes le vinaigre.
"
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Tamamayu
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Re: Vos tests

Message par Tamamayu »

A l'occasion de ce UP, je vais présenter deux reviews de jeux (déjà postées sur MU) dont je suis passionné.

Parasite Eve II (o rly)
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Parasite Eve II
Un an à peine s'écoule après la sortie de Parasite Eve sur Playstation en dehors de l'Europe, et voilà qu'un deuxième épisode pose les pieds en Août 2000 sur le vieux continent. Il faut bien avouer que cette suite n'a pas grand-chose à voir, que ce soit au niveau du gameplay ou de l'histoire. A l'origine, Parasite Eve est un jeu mêlant des éléments de jeu de rôle et de survival-horror. Mettant en scène des combats en temps réel, ce jeu est saucé de la jauge ATB de la célèbre saga Final Fantasy, ainsi que de magies, ici appelées Parasite Energy. Le joueur devait donc se déplacer sur le terrain de combat et éviter les attaques ennemies, le temps que sa jauge ATB se remplisse afin de pouvoir agir, et ainsi de suite. Dans le cas du deuxième opus, la jauge ATB est tout simplement virée. Place à de l'action pure et dure sans devoir attendre bêtement.

Si vous n'avez encore jamais joué à Parasite Eve II, je vous déconseille fortement de regarder la séquence d'introduction. Pourquoi ? Elle est bourrée de spoil. Vous y découvrez tous les boss et autres personnages du jeu, et ça, ça fait déjà un peu mal de les connaître si vite. Démarrons donc le jeu. Vous trouverez les choix "New game", "Continue" et "Option" à l'écran-titre. Préférez plutôt modifier les options pendant le jeu, car là, vous ne pouvez modifier que l'option de vibration. On sélectionne donc tout naturellement "New game". Et là, on s'aperçoit que s'affichent des références au premier Parasite Eve, évoquant l'histoire d'Aya Brea, l'héroïne de la série de Squaresoft. Heureusement, le scénario de Parasite Eve II est tout nouveau, et vous n'avez, dans une certaine mesure, pas besoin de jouer à son prédécesseur pour comprendre la trame principale, que je vous laisserai découvrir si vous êtes curieux. Personnellement, je la trouve intéressante et originale. Vous devrez mener une seule et unique enquête à bien, cachant une terrible affaire. Je préfère ne rien révéler d'autre sur ce point.

Vous devrez pour cela, vous confronter à de nombreux mutants sujets à des transformations cellulaires, qu'on appelle ici les NMC (Neo-Mitochondrion Creature). Ça passe d'araignées de taille impressionnante à quatre pattes aux monstres gros et à minuscule tête, en passant par les "chevaux" à tête humaine. En vérité, le bestiaire de ce jeu n'est pas très varié, on se retrouve souvent face à des créatures similaires, et c'est bien dommage. Passons ce détail, et voyons à présent comment on joue. Le jeu n'est pas très compliqué en soit à manier, il suffit d'utiliser les touches directionnelles (ou le joystick gauche) pour se déplacer, la touche carré pour "locker" une cible (locker, car je précise qu'on n'est pas dans un FPS), la touche R1 pour tirer sur la cible lockée. Facile d'accès. Après, il y a d'autres commandes telles que le menu des magies (Parasite Energy) accessible avec la touche triangle, on peut aussi cesser de viser ou de recharger pour mieux éviter les attaques ennemies (touche rond). Au début du jeu, vous disposez d'un stand d'entraînement pour vous familiariser avec tout cela, pour des entraînements avec ou sans déplacements.
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Un petit aperçu du menu. On y voit à peu près tout ce qu'on doit savoir sur le statut d'Aya.
Le gameplay emprunte donc beaucoup à Resident Evil mais ajoute son petit grain de sel et sa pincée de RPG. Vous disposez évidemment d'armes, chacune ayant leurs caractéristiques. Notez qu'il existe plusieurs types de munitions pour une même arme, ou pour plusieurs armes. Chaque arme a sa compatibilité avec les différentes munitions. Les "nouveautés" ? Lorsque vous éliminez un ou plusieurs ennemis, vous obtenez de l'expérience et des BP (argent). L'expérience est utile pour débloquer des magies ou pour renforcer une magie (jusqu'à trois niveaux). Les magies mettent un certain un temps avant de se déclencher, c'est une perte d'ATP. Plus le niveau de votre magie est élevé, moins vous mettez de temps à déclencher cette magie et moins vous dépensez de MP. Votre argent vous permet d'acheter des armes et leurs munitions adéquates, des protections, ou des accessoires divers comme les protéines qui augmentent votre niveau de HP maximal, des gaz lacrymogènes, etc.

Les décors du jeu sont pré-calculés et nous en mettent plein la vue (ça ne sera pas le cas des screens de cette review). Ces angles de caméra fixes peuvent poser des problèmes dans le jeu, comme le fait de ne pas voir ses ennemis qui sont derrière la caméra, ça peut même aller jusqu'à se retrouver avec des monstres qui se placent juste devant la caméra pour qu'on n'y voit plus rien du tout, cependant ces cas sont plutôt rares, les angles de caméra sont généralement bien choisis. Les animations de magie sont également de très bonne facture. La modélisation des personnages est moins convaincante, surtout vue de près, mais est tout de même de bonne, voire très bonne qualité pour de la PS1. De rares cinématiques en images de synthèse parsèment le tout, pour notre plus grand bonheur. Les lieux visités sont peu nombreux et sont essentiellement vus de nuit.
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Une belle capture d'écran.
Certains joueurs aiment recommencer ce jeu moult fois, d'autres se contentent de ne le terminer qu'une fois. Le jeu, dans une première partie, dure environ 4 à 5 heures, sûrement pas plus. Ce qui est intéressant, c'est qu'on débloque les différentes difficultés du jeu une à une. Ainsi, on distingue 4 modes de jeu : Replay Mode, Bounty Mode, Scavenger Mode, et Nightmare Mode. Le Replay Mode se contente de reprendre la difficulté de la première partie, les autres modes sont de difficulté croissante. Et pour achever le Nightmare Mode, il faut beaucoup de patience et de stratégie, sachant qu'on ne commence qu'avec la moitié de la santé initiale (100HP -> 50HP) et que les ennemis sont 3 à 4 fois plus forts qu'en Replay Mode. Autant dire que certains monstres peuvent vous éliminer d'un seul impact dans ce mode, qui devrait prendre 8 heures au moins pour être terminé, si vous souhaitez tuer tous les ennemis du jeu (ils sont limités). Voilà donc qui rallonge considérablement la durée de vie du jeu pour les plus masochistes. C'est le genre de jeu qu'il faut aimer recommencer à plusieurs reprises... Il existe même un compteur de parties terminées (tout comme dans d'autres jeux tels que Tales of Symphonia qui est facilement 15 à 20 fois plus long...). Des bonus sont également déblocables pour rendre les parties en Replay Mode plus intéressantes (armes (dont la Gunblade qui fait référence à Final Fantasy VIII), protections et accessoires supplémentaires).
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Coucou.
Les thèmes musicaux du jeu sont quant à eux beaucoup plus anodins, très discrets pour la plupart et n'ont rien d'exceptionnel. Je regrette personnellement que Yoko Shimomura ne se soit pas chargée de l'OST du jeu (auteur de l'OST du premier Parasite Eve, dont voici son thème orchestral...). On se contentera des effets sonores, qui eux nous immergent pleinement dans l'action. Hélas, nous n'entendrons pas les voix des personnages, mais il y a des gens que ça arrange.

Au final, Parasite Eve II est une belle réussite de Squaresoft, avec une admirable exploitation des capacités de la PS1 (franchement on peut difficilement faire mieux sur ce support, mais il faut voir ça sur votre écran de télévision, et non sur une review avec des screens pas très beaux), des commandes qui répondent bien, une longévité qui ne dépend que des joueurs et une aventure trépidante qui tourne autour de la biologie (le jeu parle beaucoup des mitochondries). Il n'y a pas à demander mieux. Juste une séquence d'introduction bien moins frustrante, peut-être.
Project Zero II : Crimson Butterfly
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Project Zero II : Crimson Butterfly
(Autres plate-formes : Xbox, Wii (réédition))
Project Zero II est un survival-horror sorti à la base sur PS2 en avril 2004, puis sur Xbox un an plus tard, et enfin sur Wii, fin juin 2012 (dans une réédition qui n'apporte rien de plus, à part un petit mode 2 joueurs). Il fait suite à Project Zero (Fatal Frame aux USA) premier du nom, qui racontait l'histoire de Hinasaki Miku, jeune fille de 17 ans qui cherchait désespérément son frère Mafuyu dans un manoir hanté par des fantômes (non, ça n'a aucun rapport avec Luigi's Mansion). L'apparition de fantômes est expliquée, dans chacun des jeux Project Zero, par un rituel (différent selon l'épisode) qui résidait dans les lieux visités, consistant en un ou plusieurs sacrifices humains (généralement des filles).
La série compte quatre épisodes principaux, dont un malheureusement bloqué aux frontières du Japon (l'épisode Wii), en plus d'un spin-off sur 3DS qui visiblement n'a pas le "charme" d'un Project Zero...

Synopsis
Crimson Butterfly présente une autre héroïne, Amakura Mio, et sa sœur jumelle Mayu, toutes les deux âgées de 15 ans. Dès le lancement d'une partie, Mio et Mayu se promènent dans les bois, tout près de leur maison d'enfance, où un accident était arrivé : Mayu, alors qu'elle essayait de rattraper sa sœur, était tombée d'une falaise et boîte depuis. Perdue dans ses pensées, Mio ne voit pas immédiatement que sa sœur est entraînée dans la forêt par un papillon écarlate. Courant après elle, Mio se retrouve soudainement isolée sur une route montagneuse et brumeuse. Elle décide alors de suivre les lumières qu'elle voit apparaître entre les arbres et retrouve sa sœur. Mais là, plongées dans le brouillard et les ténèbres, les jumelles découvrent un mystérieux village, nommé le Village de Tous les Dieux.
Mio et Mayu vont découvrir petit à petit l'horreur qui a régné sur ce village et le culte qu'il a entretenu envers les jumeaux et les jumelles.
Comme son prédécesseur, Project Zero II a été tiré d'une légende, et tout comme le reste des épisodes de Project Zero sortis à ce jour. On raconte que le village de Tous les Dieux occupait jadis la forêt, dans les profondeurs des montagnes. Cette forêt était condamnée à disparaître à cause de la construction d'un nouveau barrage. L'histoire raconte qu'à la veille d'une fête, le village s'évapora soudainement, laissant la forêt recouverte d'un épais brouillard. On dit que si vous vous perdez dans cette forêt, vous disparaîtrez dans ce village perdu, le village où les papillons écarlates dansent, le village prisonnier d'une nuit éternelle.
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Dès le début du jeu, vous serez confrontés à des sortes d'hallucinations paranormales, certaines ayant lieu dans le passé.
(Note : les textes et sous-titres du jeu sont traduits en français dans sa version européenne.)
Le jeu en lui-même
Le principe de Project Zero est bien différent de nombreux autres survival-horror : en effet, vous devez capturer des fantômes à l'aide d'un appareil photo pouvant faire apparaître des choses invisibles à l’œil nu (à vrai dire ces choses ne sont que les fantômes), et non survivre face à des zombies ou des monstres indescriptibles. Pour cela, vous disposerez d'un filament en bas de l'écran qui brillera si vous êtes en face d'un fantôme (bleu : le fantôme n'attaque pas, orange : le fantôme est agressif). Vous devrez donc les photographier afin d'augmenter les capacités de l'appareil. Car oui, bien que Project Zero II soit un survival-horror, ce jeu dispose tout de même d'un système d'upgrade à la façon d'un RPG (légèrement différent de celui de son prédécesseur), contrairement à un Silent Hill par exemple. Chaque cliché rapporte un certain nombre de points (à condition qu'on y voit un fantôme cadré), que vous dépenserez dans l'amélioration des fonctions de base (portée, puissance, pouvoir spirituel) ou des lentilles bonus trouvables au cours de l'aventure. Ces lentilles permettront entre autres de ralentir, arrêter ou voir plus facilement les fantômes, ou améliorer la puissance des clichés. Il y a divers manières de se débarrasser d'un quelconque fantôme rapidement (même coriace), comme les techniques appelées "Moment propice" ou "Cadrage Fatal" pouvant infliger de lourds dégâts mais qui demandent un peu d'entraînement au début, ainsi que les combos de photos ou encore le choix du film à utiliser (les rares films type "Zero" sont les plus puissants mais aussi les plus longs à recharger). En bref, il y a effectivement pas mal de paramètres déterminant la puissance d'un cliché. Cette puissance calcule aussi le nombre de points gagnés lors d'un cliché.
Notons toutefois la lenteur exaspérante des déplacements de l'héroïne. C'est peu pratique surtout quand un fantôme vous attaque.
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Quand vous avez ça devant votre nez, mieux vaut immédiatement prendre une photo.

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Et quand Mayu est attaquée, ayez recours au "Cadrage Fatal".
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Une chose est intéressante à savoir concernant Crimson Butterfly : les décors reprennent les environnements d'anciens villages japonais, et le résultat est plus que crédible. Tout en mettant en valeur la beauté des environnements (ça reste de la PS2, adeptes de la "next gen" passez votre chemin), il renforce l'immersion grâce à une représentation on ne peut plus fidèle de l'architecture des demeures ou des alentours du village japonais. L'esthétique folklorique japonaise est complètement ancrée dans le moindre détail visuel : vêtements des personnages (on voit des kimonos un peu partout dans le jeu), meubles, décorations et architecture des bâtiments sont vraiment typiques du Japon. Les graphismes, dans tout ça, ne sont vraiment pas mauvais pour l'époque.

L'ambiance
C'est l'aspect qu'on recherche essentiellement en jouant à Project Zero II pour la première fois. Alors l'ambiance horrifique est-elle vraiment au rendez-vous ? Je dirais qu'à mon humble avis, c'est satisfaisant. Tout d'abord, sachez que cette ambiance a bel et bien été travaillée par Tecmo, via l'apparence de la plupart des fantômes qui est plutôt glauque et certaines de leurs apparitions vives et brèves, le passé que renferme le village de Tous les Dieux, la brume des ruelles et l'obscurité des maisons, le silence ou les petits bruits étranges qu'on peut entendre au fond d'un couloir... Tout est conçu de manière à stresser le joueur. Il est évident que tous les joueurs ne vont pas vivre cette ambiance de la même façon, parce que je pense personnellement qu'il y a mieux en terme de frayeurs dans un jeu vidéo.
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Déroulement
Durant votre parcours, vous ne risquerez pas de rencontrer beaucoup de monde (à part les fantômes...), mais vous trouverez en revanche beaucoup de journaux et de notes à propos de l'histoire et le culte menés autrefois au village. C'est à peu près de cette façon que se dévoile le scénario de Crimson Butterfly, les événements n'étant pas nombreux. Attention cependant, ne vous attendez pas à avoir des frayeurs toutes les minutes en jouant au jeu, c'est certes censé être flippant mais ça n'est pas vraiment le cas. Vous serez vite habitués aux affrontements face aux fantômes (il n'y a pas tellement d'apparitions soudaines, mais certaines de ces apparitions peuvent toutefois faire sursauter comme je l'ai déjà fait) et on imagine très vite la tournure que va prendre l'histoire malheureusement, même si on se demande parfois ce que raconte Mayu dans les phases de jeu où Mio est avec elle, et pourquoi aussi Mayu se balade dans le village sans attendre Mio. Ça n'empêche pas à cette histoire d'être passionnante, pour découvrir ce qui se passait réellement dans ce village, pourquoi est-il perpétuellement plongé dans les ténèbres, que font ces papillons là-bas, et qu'est-ce qui a pu amener les deux sœurs jumelles ici ?
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Que propose le jeu ?
Ça dépend de vous, comme pour beaucoup de jeux vidéo. Un jeu comme Project Zero peut vous gonfler à cause de la lenteur des personnages (c'est vraiment LE détail agaçant) ou même à cause de son principe de capture de fantômes, mais sachez quand même que Crimson Butterfly commence déjà par vous proposer l'aventure d'origine en deux difficultés (Facile ou Normal). Une fois le jeu terminé en mode Normal, vous débloquerez le mode Difficile et un mode Missions dans lequel des objectifs précis sont à remplir (un rang vous est attribué à l'issue d'une mission), et en finissant le jeu en Difficile, vous débloquerez le mode Cauchemar, qui constitue un véritable défi. En terminant tous ces modes de jeu, vous aurez accès à une galerie et des costumes classes (bon d'accord c'est un point inutile, mais si mes souvenirs sont bons, la version Wii renferme notamment les costumes de Mario et Luigi pour Mio et Mayu), et peut-être à d'autres épilogues de l'histoire imaginés par Tecmo (en jouant au mode Cauchemar). Si vous aimez refaire un jeu plusieurs fois, alors il y a de quoi jouer, surtout qu'une partie entière peut durer environ 8 heures. C'est plutôt un bon point, compte tenu du genre.
Notez que la version Xbox contient des bonus que les deux autres versions n'ont pas, je ne sais pas vraiment de quoi il s'agit, à part les fantômes supplémentaires, le mode survie et la possibilité de faire le jeu en vue subjective.
Comme on est sur un site dédié à Mario, je me suis souvent dit que Project Zero avait un lien quelconque avec Luigi's Mansion... Vous venez de remarquer que ces deux jeux consistent à capturer des fantômes. Tout comme Luigi's Mansion, les Project Zero proposent de découvrir l'histoire d'un manoir (ou d'un village dans Crimson Butterfly) et des fantômes qui le hantent. Ce sont des choses essentielles à l'ambiance d'un jeu de ce genre. Peut-être que des gens ici voulaient voir un jeu du style Luigi's Mansion version "horreur" (je sais, j'ai une drôle de vision de ce jeu). Si tel est le cas, je les invite à essayer l'un des trois premiers Project Zero (les histoires sont, dans une certaine mesure, indépendantes), le quatrième épisode étant très difficile à acquérir. Je pense sincèrement que Project Zero II est une expérience à vivre.

On va clôturer cette review de la même façon que celle qui clôture le jeu : une chanson. Chaque épisode de Project Zero (sauf le premier) voit son générique de fin défiler avec une chanson en guise de fond musical, chacune de ces chansons étant composée et chantée par Tsukiko Amano. Le générique de Crimson Butterfly est nommé "Chou", signifiant tout bêtement "papillon" en japonais...
Bon je sais que les jeux d'horreur ne sont pas le trip de membres d'un forum Mario, mais faut bien que je poste ça quelque part.
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koopa troopa
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Re: Vos tests

Message par koopa troopa »

Vraiment pas mal ces tests, dommage qu'il n'y ai pas de notes à la fin.
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Re: Vos tests

Message par Yoshidu62 »

Ce sont des reviews, donc pas obligé qu'il y ait de note à la fin ^^
Sinon ouaip, deux reviews de bonne qualité =)
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- Agent BOO, premier modérateur de Le Monde de Mario.
Ce message va vous transcender l'esprit comme aucune autre révélation ne puisse le faire sur cette planète.
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Re: Vos tests

Message par Hydroxyde »

Tes reviews sont vraiment bien Brea.
Par contre Bender, c'est pas un test ça.
D'ailleurs si il y avait une balise tableau j'aurais pu poster ma review de NFS MW mais vu qu'il y en a pas bah je mets le lien vers la review.
je ne suis PLUS en TÉLÉtravaille....
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